Liquid error (sections/custom_mobile-menu line 86): Expected handle to be a String but got LinkListDrop
  • Group 27 Connexion

L'Harmonie dans la Dévotion : l'Équilibre entre les Actes Volontaires et les Actes Obligatoires dans le Judaïsme

Quelle est la différence entre la section de la Torah "Tzav" (Commandement) et la section "Vayikra" (Lévitique) ?  Dans "Vayikra", nous parlons d'une personne qui désire offrir spontanément  un sacrifice. Un tel sacrifice est appelé "Nedavah" (offrande volontaire). Rachi commente : "C'est d'une offrande volontaire que parle le verset". En revanche, la section "Tzav" s'adresse à ceux qui ne souhaitent pas nécessairement offrir un sacrifice, mais qui le font en raison du commandement et de l'autorité de la prescription. C'est pourquoi la section commence par le mot "Tzav " (Commandement). En effet, cette section traite de lois vers lesquelles un individu peut ne pas se diriger naturellement, comme le fait de s'occuper des restes du sacrifice sur l'autel tout au long de la nuit. Il s'agit de tâches difficiles, et sans le commandement, on ne peut pas compter sur la volonté personnelle pour les accomplir.

En d'autres termes, nous avons deux motivations : la motivation de l'offrande volontaire, qui est spontanée, et la motivation issue de l'obligation, qui provient du commandement. Nous constatons ici une différence dans l'ordre des sacrifices. Dans le livre du Lévitique, nous avons la "Olah" (holocauste) suivi des "Shelamim" (offrande de paix), et seulement ensuite nous avons les offrandes pour les péchés, telles que "Chatat" (sacrifice pour les fautes involontaires) et "Asham" (sacrifice de culpabilité). Quelle est la différence entre une "Olah" et des "Shelamim" ? Une "Olah" est un sacrifice où toute la viande de l'animal offert sur l'autel est entièrement brûlée. La personne qui apporte l'offrande ne gagne rien, voire perd de l'argent. Mais, ce n'est pas le cas avec les "Shelamim". Lorsque quelqu'un offre un "Shelamim", on place sur l'autel une partie de la graisse et du sang, qui ne peut pas être mangée, et le reste de la viande est consommé. On déclare alors qu'on l'offre à Dieu. Cela témoigne d'un partenariat profond entre l'individu et le Divin, comme si la personne était invitée à un repas à la table du Créateur.

La question se pose : pouvons-nous vraiment croire que lorsqu'une personne offre des "Shelamim", elle a véritablement l'intention de le faire pour l'amour du ciel ? Si c'est dans "Vayikra ", alors oui. Dans Vayikra, lorsque nous voyons qu'une personne a une inclination spontanée à servir Dieu, immédiatement après la "Olah", suivent les " Shelamim " ; Ce n'est qu'ensuite que l'on trouve des offrandes pour les péchés, si l'individu a péché. En revanche, dans "Tzav", les offrandes pour le péché précèdent les offrandes de paix. En d'autres termes, s'il s'agit de personnes qui n'exécutent le commandement qu'à cause du commandement, nous voulons d'abord qu'elles  rachètent leurs péchés et c'est alors seulement qu'elles pourront faire des offrandes de paix. - On peut alors les croire lorsqu'elles disent qu'elles ont l'intention de servir le ciel lorsqu'elles mangent des morceaux du sacrifice. Il y a là une leçon pédagogique importante : les gens ne peuvent pas toujours compter sur eux-mêmes pour que leurs intentions soient pures. S'il est nécessaire de leur ordonner d'accomplir une mitsva, ils devront d'abord se défaire de leurs péchés, et c'est alors seulement qu'ils pourront prendre part à la Table Divine.

Vairāk nedēļas nodaļu

Du désert à la Terre Promise : l'Évolution de la Consommation de Viande Cachère

Dans la Paracha  A'harei Mot, la Torah restreint la consommation de viande dans le désert afin de prévenir l'idolâtrie. Seuls les sacrifices d'animaux casher dans le Tabernacle étaient autorisés. L'abattage non autorisé était considéré comme une transgression grave, proche du meurtre. En entrant dans la Terre d'Israël, les Israélites ont été autorisés à consommer de la « viande de désir » n'importe où, symbolisant l'espace sacré élargi du Tabernacle et du Temple.

Parler de Pureté : Le Rôle de la Parole dans les Rituels de Purification de Metzora

En examinant le rituel de purification du Metzora dans le cadre de Yom Kippour, l'article explore les nuances symboliques du Saint des Saints et d'Azazel. Il analyse le pouvoir de la parole, en opposant sa sainteté à son impureté. En outre, il aborde le parcours de réintégration du Metzora, en soulignant que le rituel des deux oiseaux constitue un moment charnière. Cette exploration offre un aperçu des traditions anciennes et de leur pertinence dans le discours spirituel contemporain.

Liens maternels et Envie : Effets Psychologiques dans la Tradition Juive

Approfondir la Paracha Tazria, cette étude examine les lois de la Torah relatives à l'impureté et aux offrandes après la naissance d'un enfant dans le Judaïsme, en opposition aux perspectives Chrétiennes. Elle examine les impacts psychologiques des rituels d'accouchement, y compris la jalousie mère-enfant, et la signification des vœux d'expiation pour les mères. Comprendre les complexités de l'accouchement dans la tradition Juive permet de mieux comprendre à la fois les pratiques religieuses et les effets psychologiques sur les individus.

Recherche