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Souccot - Une fête verte

Shalom et salutations à tous nos amis Noahides à travers le monde, Joyeuse Souccot ! Cette fête se distingue de toutes les fêtes juives en ce qu'elle est une fête à caractère pastoral. Il y a beaucoup de verdure. Les quatre espèces que nous utilisons pendant cette fête, ainsi que la soukka elle-même, faite de matériaux naturels, et la cérémonie du Temple consistant à puiser l'eau de source - Simhat Beit Hashoeva - sont autant d'expressions de l'unité de l'âme juive avec la nature. C'est un domaine dans lequel nous ne sommes pas très doués, car il semblerait que les Juifs aient tendance à ne pas apprécier la nature. Ils ont peur des aspects empiriques, souvent paganisants, qui y sont associés. C'est pourquoi, à l'occasion de la Pâque, par exemple, nous nous abstenons de manger du pain levé. À Chavouot, nous ne dormons pas de toute la nuit, et à Rosh Hashanah, nous ne dormons pas de toute la journée. Enfin, Souccot est une fête normale où nous pouvons dormir et nous connecter à la joie naturelle et pastorale de la nature. Comment y parvenir ? Après avoir réparé nos fautes et nous être purifiés du mauvais penchant pendant les jours de crainte de Roch Hachana et de Yom Kippour, nous sommes sûrs que notre rencontre avec la nature n'entraînera pas, à Dieu ne plaise, une personne à s'égarer moralement. Au contraire, l'expérience devrait élever la personne, en l'élevant en même temps que la nature. C'est pourquoi Souccot a également une dimension universelle significative. Les nations du monde sont plus sensibles au caractère sacré de la nature, comme l'explique l'un des grands dirigeants de la nation, le Rabbin Kook de mémoire bénie, qui a expliqué que le caractère sacré de la nature appartient spécifiquement aux nations du monde, tandis que le la sainteté qui transcende la nature appartient au peuple d’Israël. Et on peut voir, à Souccot, il y a une réconciliation entre les deux types de sainteté : la sainteté au-dessus de la nature et la sainteté au sein de la nature. C’est pourquoi les prophètes nous prédisent qu’à l’avenir, des gens du monde entier viendront célébrer Souccot, en particulier dans le Saint Temple de Jérusalem. Les Juifs offriraient 70 taureaux pour l'expiation des 70 nations du monde. Souccot est en effet une fête universelle qui nous rassemble avec toute l’humanité, réconciliant la sainteté au-dessus de la nature avec la sainteté au sein de la nature. Nous souhaitons à tous de joyeuses fêtes.

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À la recherche de la tranquillité
L'aspiration messianique de Jacob

Dans la quête de Jacob pour la tranquillité personnelle, juxtaposée aux rêves visionnaires de Joseph, le récit dévoile une lutte perpétuelle.
La tension entre la sérénité individuelle et le fait de catalyser un changement global émerge comme un thème central. Alors que Joseph s'élève au-delà de l'opposition familiale, ses rêves illuminent un chemin vers la subsistance et l'illumination du monde. Cette ancienne saga incite à une réflexion sur la question éternelle : Doit-on sacrifier la paix personnelle pour avoir un impact transformateur ?

VAYICHLA'Hl
Jacob envoie des messagers pour retourner au pays.

Vayichla'h se penche sur l'évolution de l'identité juive, retraçant le parcours de Jacob qui se transforme pour devenir Israël. S'écartant de la paracha précédente où Jacob part en exil, ce récit est centré sur son retour et sur le processus complexe de la transition identitaire. Le texte souligne l'importance de relever les défis politiques comme condition préalable à l'incarnation de l'identité d'"Israël", qui se bat à la fois avec Dieu et avec les hommes.  
La rencontre entre Jacob et Ésaü est un moment crucial où la peur joue un rôle central. Le commentaire de Rachi met en lumière la double nature de la peur de Jacob : la peur de se faire du mal et la peur de faire du mal aux autres. Cette peur nuancée reflète l'influence persistante du code moral d'un exilé, qui entrave la capacité à affronter et à vaincre l'ennemi.
Alors que Jacob est toujours aux prises avec un ennemi réel lors de l'incident de Sichem, ses fils comprennent la ligne de conduite à suivre pour exister sur la Terre d'Israël. Le récit se termine par le retour de Jacob à Béthel, ayant acquis la conviction requise par les Juifs de la Terre d'Israël - un niveau illustré par celui qui sait comment se battre pour se défendre et défendre sa Terre.

Acquérir le droit d'aînesse

Dans cette Paracha, le voyage de Jacob hors de la terre d'Israël symbolise l'exil collectif du peuple d'Israël. Confronté à des défis moraux, Jacob doit faire face aux accusations de son frère aîné Ésaü concernant le droit d'aînesse qui lui a été volé. Le récit se déroule alors que Jacob s'efforce de prouver sa supériorité morale. L'histoire prend un tournant avec la naissance de quatre premiers-nés, ce qui déclenche un processus de correction et met en évidence le contraste entre les actions d'Ésaü et le comportement vertueux des fils de Jacob.

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