Bonjour, nous poursuivons l'étude des lois tirées du livre Brit Chalom, chapitre cinq, qui traite des lois relatives au meurtre ou à l'atteinte à la vie d'autrui.
Nous voici maintenant à la section 22, qui traite des dommages causés par des coups. Imaginons qu'une personne frappe son ami. Est-ce interdit ou non ?
Le Talmud dit, et je cite ici le traité Sanhédrin : « Celui qui frappe son ami est appelé scélérat. » Où voyons-nous cela ? Lorsque Moïse vit deux Hébreux se battre, il dit au méchant : « Pourquoi frappes-tu ton compagnon ? » Nos sages en ont tiré la leçon suivante : celui qui frappe son ami est considéré comme méchant.
Et si la personne qui reçoit le coup n'est pas n'importe qui, mais un Juif ?
Ici, nous observons une sévérité encore plus grande. Il est dit que frapper une personne originaire d'Israël est particulièrement grave, comme indiqué dans le Traité Sanhédrin, avec des mots très durs à l'égard de celui qui frappe un Juif.
Il va sans dire que frapper quelqu'un est grave, et plus encore lorsqu'il s'agit de frapper un membre du peuple d'Israël, qui a subi de nombreux coups au cours de son histoire difficile.
Mais ici, il existe des lois supplémentaires. Est-il permis de tuer un animal nuisible ? Les animaux nuisibles peuvent être tués. Par exemple, les abeilles ou les guêpes qui pourraient me piquer. Il n'y a aucune interdiction de les tuer. En fait, cela peut même empêcher le mal qu'elles pourraient causer à quelqu'un d'autre.