Nous étudions les lois de la « Bénédiction du Nom » dans le quatrième chapitre du livre Brit Chalom.
Nous discutons également de la manière positive de rendre hommage. Nous avons parlé d'honorer les parents, les aînés et le peuple d'Israël. Mais quelle est la manière positive d'honorer le Saint Béni soit-Il ? La façon la plus immédiate et la plus simple est la gratitude - le remerciement.
Nos sages ont dit que le grave péché d'Adam après avoir mangé de l'arbre de la connaissance est d'avoir blâmé le Saint, béni soit-Il, de lui avoir donné une femme qui l'a égaré : « La femme que tu m'as donnée pour être avec moi m'a donné de l'arbre, et j'en ai mangé.
Ici, nos sages disent : « À ce moment, il a nié le bien », et c'est là le premier péché. Reconnaître le bien est donc la meilleure façon de servir Dieu.
Je lis la section 14 : « Remercier le Créateur pour toutes les bontés qu'il accorde aux hommes constitue une obligation morale ».
C'est pourquoi les Sages d'Israël ont formulé les bénédictions de louanges et de remerciements pour le Saint Béni soit-Il, pour chaque jouissance ou joie.
Ces bénédictions sont détaillées dans des livres de prières, dont celui intitulé Brit Olam, dans lequel j'ai inclus le texte des bénédictions en fonction de la sensibilité spécifique des enfants de Noé.
Qu'en est-il lorsqu'une personne est confrontée à des événements difficiles ? L'article 15 dit : « Il convient de remercier par des bénédictions même lors d'événements douloureux, car ils aboutissent au bien. » C'est ce qu'a dit Rabbi Akiva : « Tout ce que le Saint Béni soit-Il, fait a pour but d'apporter le bien. Cela ne veut pas dire que ce soit agréable à ce moment-là. Lorsqu'une personne souffre, elle souffre, mais elle doit aussi avoir conscience qu'à travers sa souffrance, elle progresse vers son but ultime.
