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Chapitre 2, partie 3, " Brit Chalom " par le rabbin Oury Cherki

Que se passe-t-il avec les détails spécifiques des lois ?

Suite du chapitre 2 de « Brit Chalom ».

Nous discutons des principes fondamentaux. Dans le septième point, nous nous demandons ce qu'il advient des détails spécifiques des lois. Par exemple, lorsqu'on discute de l'interdiction de la greffe - ne pas greffer un fruit d'une espèce sur un arbre d'une autre espèce - la question se pose : comment définir deux espèces ? Dans la loi juive, il existe des définitions très précises de ce qui constitue deux espèces distinctes. Par exemple, le citronnier et l'etrog (cédrat), bien qu'appartenant tous deux à la famille des agrumes, sont considérés comme deux espèces distinctes et ne peuvent être greffés ensemble. Cette interdiction concerne-t-elle également les Noachides, ou la définition de l'espèce doit-elle être déterminée par les sages d'autres nations ? Sur ce point, certains sages d'Israël sont d'avis que les détails des lois noachides qui ne sont pas explicitement mentionnés dans le Talmud ou par les décisionnaires devraient être appliqués conformément aux lois juives. Par exemple, pour les lois sur le vol, il serait nécessaire d'étudier toute la littérature halakhique d'Israël. D'autres pensent qu'il appartient aux Sages noachides de les définir selon leur jugement. 

Par conséquent, les Noachides ne devraient pas être accablés par des déclarations telles que « cette greffe est interdite » ou « selon la loi juive, il s'agit d'un vol ». Au lieu de cela, il existe un raisonnement humain et une législation qui ne doivent pas nécessairement correspondre à la loi juive. Cette deuxième opinion est, en fait, la principale. Ce dernier point de vue est considéré comme faisant autorité dans la halakha.

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Therefore, Noahides should not be burdened with statements like, “this graft is forbidden,” or, “according to Jewish law, this is theft.” Instead, there exists human reasoning and legislation that does not have to match Jewish law. This second opinion is, indeed, the primary one. This last view is considered authoritative in halakha.

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