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Chapitre 1, partie 3, « Brit Chalom » par Rabbi Oury Cherki

La troisième section du premier chapitre du livre « Brit Chalom », que nous étudions, traite de la définition de ceux que l'on appelle les « Bnei Noah » (Noahides).  

Nous avons déjà appris qu'une personne qui accepte les commandements des Bnei Noah devant un tribunal composé de trois rabbins bénéficie d'un statut supplémentaire. Cette personne est appelée « Guer Toshav » (étranger résident). Cela est mentionné au paragraphe 7 : « S'il accepte les commandements devant un tribunal composé de trois rabbins, il est également appelé "étranger résident" (guer toshav), et peut résider sur la Terre d'Israël avec ce statut ». 

En d'autres termes, les idolâtres qui n'acceptent pas la constitution minimale des sept commandements des Bnei Noah ne sont, en principe, pas autorisés à s'installer parmi nous sur la Terre d'Israël. En revanche, une personne qui accepte les sept commandements vit parmi nous en tant que citoyen et bénéficie de tous les droits civiques en tant qu'être humain. 

Sur quelle base une personne accepte-t-elle les sept commandements ? Est-ce parce qu'elle croit en la Torah de Moïse ? Ou parce que sa raison et sa morale le poussent à le faire ? 

Il y a ici une distinction. Au paragraphe 8, on peut lire ce qui suit « S'il accepte les commandements parce qu'il reconnaît la véracité de la Torah transmise par Moïse aux enfants d'Israël, il est appelé “ Juste des nations" et a sa place dans le monde à venir avec le peuple d'Israël ». En d'autres termes, ils sont assis, pour ainsi dire, dans le même « département » du monde à venir que le peuple d'Israël. Cela étant, au paragraphe 9, il est précisé que «Une personne qui accepte les commandements non pas parce qu'elle croit en la Torah, mais parce qu'elle y reconnaît une évidence rationnelle ou morale, est un «Sage des nations ». 

Il s'agit d'une distinction entre un 'Hassid (personne juste) et un ''Chacham'' (personne sage). Certains de nos sages ont donné la préférence au ''Hassid'', tandis que d'autres ont donné la préférence au ''Chacham''. 

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Therefore, Noahides should not be burdened with statements like, “this graft is forbidden,” or, “according to Jewish law, this is theft.” Instead, there exists human reasoning and legislation that does not have to match Jewish law. This second opinion is, indeed, the primary one. This last view is considered authoritative in halakha.

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