L'article traite de la deuxième fête de Pessah dans la Paracha  Behaalotekha, en soulignant son importance pour le renouveau spirituel et l'identité nationale. Il examine la nécessité du sacrifice et de la purification de Pessah, en particulier après des actes d'idolâtrie, et l'oppose à l'absence d'une composante nationale dans la théologie chrétienne. En mettant l'accent sur le mois d'Iyar, il montre comment la rédemption au cours de cette période découle de l'initiative des Israélites d'en bas. La signification de dates telles que le jour de l'Indépendance et le jour de Jérusalem au mois de Iyar est liée à ce réveil de la base, décrivant une phase unique de la rédemption d'Israël en tant que partenaire du Créateur.

Parashat Devarim unearths Judaism's remarkable fusion of politics and religion. It challenges the conventional separation of state and faith, emphasizing that the Torah presents a political constitution for the Hebrew people. This revelation highlights the Holy One's concern for societal order and justice. The People of Israel's actions in their land serve as a model for other nations to emulate, promoting just and righteous social behavior. The seven Noahide commandments include establishing a just legal system, underscoring society's importance of justice and honesty. This religious imperative advocates for the integration of holiness in politics. Parashat Devarim sparks curiosity and invites readers to explore the unique relationship between Torah, politics, and religion.