Le travail de la sainteté, dans la tradition, vient comme un parachèvement de l’accomplissement de l’être humain. Ce n’est qu’une fois que l’homme a réussi à être entièrement lui-même, une fois qu’il a réussi dans son entreprise morale, dans son entreprise de fidélité aux commandements de la Torah, que l’homme mérite son être. Donc lorsqu’il rencontre D.ieu, il ne disparaît pas, il ne fusionne pas avec la divinité, mais au contraire entretient un dialogue…